Encore inconnue il y a quelques années, l’agastache connaît un succès grandissant. Ce n’est pas sa silhouette voisine de l’ortie qui séduit les jardiniers mais son étonnante saveur anisée.
Une terrasse doit-elle absolument être une grande surface nue ? Les plantes en pot, de plus en plus nombreuses, permettent déjà une meilleure transition entre la maison et le jardin. Mais il possible de faire beaucoup mieux.
Les jardinières sont de retour aux fenêtres des maisons, sur les terrasses et les balcons. Quelques conseils permettront d’obtenir de bons résultats.
Les pots et jardinières en terre cuite ont une allure méditerranéenne. Ils accentuent l’impression de vacances au soleil.
Plante grimpante par excellence, un lierre peut masquer un élément vertical disgracieux ou apporter une présence de verdure sur de larges surfaces homogènes.
On dit souvent qu’il faut tremper les pots en terre cuite dans de l’eau durant vingt-quatre heures avant de les utiliser pour remporter des plantes.
Chaque printemps, dans beaucoup de jardins, c’est le même refrain. Le gazon est en triste état, envahi par la mousse qui étouffe l’herbe sous le tapis dense que forment ses longs brins.
Voilà plusieurs semaines que les primevères largement disponibles au marché, chez les fleuristes et dans les jardineries apportent une note joyeuse autour de la maison, sur la terrasse ou le balcon.
Le potager et des parterres sont envahis par le mouron ? Autant voir le bon côté des choses : cette plante indésirable est indicatrice de la fertilité d’un sol car elle se plaît surtout dans les terres meubles, riches en azote et en humus.
Dans beaucoup de jardins, un poirier ou un pommier haute-tige est arrivé en fin de vie. L’arbre a maintenant une ramure dégarnie et il ne porte plus guère de fruits. Faut-il abattre ce vieux compagnon ? Tant que son tronc n’est pas attaqué par des champignons, le fruitier peut demeurer au jardin et connaître une nouvelle jeunesse grâce à un rosier liane.