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La destination des primevères : la pleine terre

Voilà plusieurs semaines que les primevères largement disponibles au marché, chez les fleuristes et dans les jardineries apportent une note joyeuse autour de la maison, sur la terrasse ou le balcon.



primevère en pleine terreDans nos intérieurs beaucoup trop chauds, ces plantes dépérissent sans tarder. Pour profiter de leurs couleurs durant de longues semaines, il faut toujours les installer à l’extérieur, dans une potée ou une jardinière. Prudence face aux giboulées de mars : au fond du pot, un lit de drainage constitué de graviers évitera à la potée d’être noyée.

Les primevères affronteront sans difficulté le givre et les gelées jusqu’à moins cinq degrés. Si des températures plus froides sont encore annoncées, il faudra couvrir la jardinière avec un matériau isolant ou la placer sous abri.

C’est le réchauffement progressif des températures qui met fin à la floraison des primevères. En avril, avant que les plantes ne s’affaiblissent outre-mesure, elles peuvent être replantées au jardin dans un endroit ombragé et qui reste frais pendant l’été.

C’est l’humidité qui constitue le facteur essentiel pour le maintien des primevères au fil des ans. Si le sol est drainant, elles ne manqueront pas de se semer, apparaissant ici ou là jusqu’à former petit à petit de véritables tapis. Mais sans les engrais des horticulteurs, les corolles révèlent une forme plus naturelle : elles sont nettement plus petites.

 
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